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Minceur

À chaque nouvel été donc, des dizaines de régimes font leur apparition dans l’objectif de vous faire sentir bien dans votre nouveau bikini, tandis qu’après les fêtes, les magazines vous disent comment éliminer les kilos pris après les repas copieux en famille.

Mais faire un régime ne suffit généralement pas à perdre du poids à long terme, c’est en tout cas ce qu’explique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) qui a révélé après étude que 8 personnes sur 10 effectuant un régime finissent par reprendre du poids un an après la fin du régime en question.

1) Contrairement aux idées reçues, bon nombre de régimes, pointés du doigt par l’ANSES,  induisent de dangereux déséquilibres alimentaires.

Oubliez les régimes Atkins, citron détox, californien, chrononutrition, Dukan, Cohen, Mayo, Fricker, Montignac, Weight Watchers ou encore soupe au chou… tout autant de méthodes trop riches en protéines, ou encore trop pauvres en glucides.

2) La prise de poids est souvent liée à un mal-être, au stress entraînant des comportements alimentaires  compulsifs.

Ce sont les glandes surrénales qui sécrètent notamment les hormones du stress (cortisol, adrénaline, noradrénaline). Lorsqu’elles sont trop sollicitées, en cas de surmenage par exemple, notre corps tout entier le ressent et on a l’impression d’être  complètement « à plat », « au bout du rouleau », bref épuisée.

Le poids idéal n’existe pas : alors plutôt que d’essayer vainement de perdre du poids, cherchez votre « juste poids », celui qui vous correspond.

Le travail du sophrologue sera dans un premier temps d’identifier ce dont la personne a besoin pour entamer ce processus de perte de poids (confiance en soi, courage, motivation …), et/ou rechercher l’éventuelle cause émotionnelle (histoire personnelle, blessures profondes,..) de cette prise de poids, mettant parfois en avant les raisons inconscientes bénéfiques apportées par le surpoids.

Outre la sédentarité, les déséquilibres hormonaux et alimentaires, les facteurs environnementaux sont de plus en plus montrés du doigt comme étant une cause de prise de poids (stress, manque de sommeil, médicaments..).

IL conviendra pour la sophrologue de mettre en place un protocole adapté, permettant de retrouver des sensations de plénitude, de relaxation, et d’harmonie et équilibre «  corps/esprit ».

Par ailleurs, l’image qu’accordent les médias, nos sociétés modernes au corps, au paraître est relativement importante. Et cette image se télescope avec celle que nous renvoie le miroir. Cette confrontation d’images nécessite souvent de devoir se réconcilier avec son corps.

L’objectif principal, dans la recherche du « juste poids » sera  d’être à l’écoute de soi, de son corps, de le redécouvrir, de se réconcilier avec l’image que la personne en a.

« Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d’y rester. » Proverbe Indien


La respiration, les exercices de relaxation dynamique et de visualisation positive vont permettre de conditionner la personne mentalement afin de lui permettre  de :


– Identifier les facteurs émotionnels liés à la prise de poids,

– Prendre conscience de son corps et ses ressentis, se le réapproprier,

– Chasser les tensions, les sources de stress

– Gérer ses émotions,

– Canaliser ses pulsions alimentaires

– Modifier ses comportements alimentaires

– Installer un état de sérénité, de calme intérieur

– Intégrer ou réactiver la notion de plaisir

– Prendre conscience de ces 5 sens

– Enrichir ses motivations

– Renforcer son métabolisme

– Favoriser un sommeil réparateur

La dernière séance du protocole aura pour intention de « prendre conscience de sa transformation »

Il est préférable de combiner la sophrologie à un suivi nutritionnel pour obtenir les résultats escomptés, sans privation et sans culpabilité.

Petits conseils :

Commencez par comprendre comment fonctionne votre métabolisme. Soyez à l’écoute de votre corps, et cessez de le priver, de le frustrer.

Débarrassez-vous de tous les éléments négatifs qui ont obstacle comme la culpabilité, les complexes, ou encore la honte.

Oubliez votre balance et fixez-vous des objectifs mesurables, atteignables et réalistes dans le temps.

Attention aux régimes amaigrissants Régimes amaigrissants

La sophrologie pour mincir

A chaque nouvel été donc, des dizaines de régimes font leur apparition dans l’objectif de vous faire sentir bien dans votre nouveau bikini, tandis qu’après les fêtes, les magazines vous disent comment éliminer les kilos pris après les repas copieux en famille.

Mais faire un régime ne suffit généralement pas à perdre du poids à long terme, c’est en tout cas ce qu’explique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) qui a révélé après étude que 8 personnes sur 10 effectuant un régime finissent par reprendre du poids un an après la fin du régime en question.

Combien d’hommes et de femmes consultent car elles n’arrivent pas à mincir durablement.

Beaucoup ont déjà consulté des diététicien(ne)s, surveillent leurs calories, veillent à respecter une alimentation équilibrée, s’imposent même des régimes drastiques,  font du sport ou veillent à ne pas être sédentaires, et malgré tous ces efforts, n’arrivent pas à perdre de poids.

Comment expliquer cela ?

1) Contrairement aux idées reçues, bon nombre de régimes, pointés du doigt par l’ANSES,  induisent de dangereux déséquilibres alimentaires.

Oubliez les régimes Atkins, citron détox, californien, chrononutrition, Dukan, Cohen, Mayo, Fricker, Montignac, Weight Watchers ou encore soupe au chou… tout autant de méthodes trop riches en protéines, ou encore trop pauvres en glucides.

2) La prise de poids est souvent liée à un mal-être, au stress entraînant des comportements alimentaires  compulsifs.

Ce sont les glandes surrénales qui sécrètent notamment les hormones du stress (cortisol, adrénaline, noradrénaline). Lorsqu’elles sont trop sollicitées, en cas de surmenage par exemple, notre corps tout entier le ressent et on a l’impression d’être  complètement « à plat », « au bout du rouleau », bref épuisée.

Fibromyalgie
et gestion de la douleur

Pour répondre à cette question, il convient de définir brièvement ce syndrome.

Le terme fibromyalgie nous vient du  :
Latin « fibra » : tissu fibreux (comme les tendons et ligaments),
Grec ancien « Myo » : muscles
Grec ancien« Algos » : douleur .

La fibromyalgie est définie cliniquement comme « un syndrome constitué de symptômes chroniques d’intensité modérée à sévère incluant des douleurs chroniques diffuses sans cause apparente et une sensibilité à la pression, associées à de la fatigue, des troubles cognitifs et du sommeil et de nombreuses plaintes somatiques ».

En agissant simultanément sur ces différents symptômes, la sophrologie permet d’enrayer le cercle vicieux.
Catherine Aliotta, Présidente de la Chambre Syndicale de la Sophrologie , témoigne : « Les personnes atteintes de fibromyalgie ont tendance à réduire leurs activités de crainte de souffrir davantage. Elles s’isolent et perdent confiance en elles. Lorsqu’elles demandent à pratiquer la sophrologie, c’est souventdans l’idée de se relaxer car le stress amplifie la fréquence et l’intensité des crises. Je leur montre que certains exercices peuvent aussi diminuer les sensations douloureuses. »

Des propos confirmés par le Dr Dominique Servant, psychiatre, spécialiste du stress : « La sophrologie offre de larges possibilités d’intervention, aussi bien sur la douleur physique que sur les souffrances morales qui y sont associées. « 

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Ménopause

C’est un tournant majeur dans la vie d’une femme. C’est la phase qui marque la fin des périodes menstruelles, la fin de la fertilité et qui peut donner aux femmes une nouvelle aisance dans la vie, libérées des contraintes de la contraception et des règles.
Cependant en Occident, la ménopause est vécue par beaucoup de façon dévalorisante, stressante, angoissante, d’où la difficulté de maintenir un bon équilibre interne, physique et émotionnel durant cette période charnière…d’autant qu’ elle est habituellement accompagnée d’une série de symptômes physiques et émotionnels inconfortables :

Bouffées de chaleur, sueurs, stress/irritabilité, sécheresse et  irritations vaginales, insomnies, manque de vitalité, changement de texture des cheveux/de la peau, douleurs musculaires et/ou articulaires et tant d’autres…

Alors en quoi la sophrologie peut-elle être le remède miracle à tous ces inconforts de la ménopause ?

Sommeil

La sophrologie, une méthode naturelle pour retrouver le sommeil.

Premier point important à ne pas négliger : si vous souffrez d’insomnie chronique et persistante, il est indispensable de consulter votre médecin afin de vérifier que votre insomnie n’est pas due à une pathologie chronique.

Le cas échéant, la sophrologie vous sera une aide précieuse.

Comment ?

Tout simplement en vous aidant à retrouver la paix et la tranquillité nécessaire à un sommeil réparateur.

Et pour se faire, il faut commencer par interrompre le flot de ruminations mentales, puis modifier ses habitudes de pensée inadaptées, dédramatiser, arrêter de se faire du mal et prendre de la distance.

Il est vrai qu’au milieu de la nuit les pensées tourbillonnent. Il faut souvent calmer le mental qui s’emballe.

Les exercices de respiration favoriseront le relâchement physique, ainsi que l’oxygénation et apaiseront les tensions. Une bonne respiration permet d’accéder à la détente, à l’équilibre psychique et physique.

La détente musculaire permet d’atteindre le niveau de conscience minimal nécessaire au lâcher-prise.

La visualisation agit activement et positivement sur les pensées, les doutes, les peurs. En état alpha, le cerveau n’a plus besoin de traiter les informations extérieures. Il est plus aisé d’observer les choses avec distance. Nous ne sommes plus entravés par nos peurs, nos doutes, par les carcans de l’éducation. Nous réapprenons à laisser libre cours à notre imagination, à notre sensualité, nous pouvons repousser les limites et ouvrir grand notre champ de conscience.

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Sevrage tabagique

La sophrologie, comme outil d’introspection, de travail sur soi, constitue un excellent soutien dans ce parcours d’arrêt du tabac, qui peut parfois être long.
Pour beaucoup de personnes les tentatives peuvent être nombreuses avant d’y arriver et c’est en cela que le fait d’être accompagné tout au long du parcours peut se révéler être un réel coup de pouce.
L’arrêt d’un comportement addictif est rarement motivé par la peur tomber malade mourir se retrouver sans argent …

Il est important que la personne qui décide d’arrêter de fumer soit à l’origine de cette décision lors d’une consultation chez le sophrologue, et c’est pendant le temps d’échange en début de séance que cette parole peut être posée.

Elle devra énoncer de manière claire et sans équivoque sa volonté d’arrêter de fumer.
Afin de mettre toutes les chances de réussite de son côté, le fait de croire en ses propres ressources est une étape importante pour enclencher le sevrage tabagique.
L’étape de la sophronisation peut débuter en mettant des mots sur ce que procure le fait de ne pas fumer au moment présent.
Cela permet de sortir du réflexe, du conditionnement de l’habitude qui consiste à trouver du plaisir dans le fait de fumer en trouvant alors du plaisir à ne pas le faire. C’est un moment agréable qui s’ancre au plus profond de soi et vient nourrir la motivation. Il peut être également enrichi de suggestions autour de l’odorat et du goût, deux sens souvent mis à mal, à cause de l’odeur du tabac.

La sophronisation peut se terminer par une projection en faisant un voyage dans le futur en s’imaginent dans la vie de l’après-tabac.
Ce bond en avant donne du courage et permet de mettre des images concrètes, presque réelles, sur les résultats obtenus.
La confiance est déjà revenue à ce stade de travail.
Une confiance que l’on aura plaisir à retrouver, à mobiliser encore, dès que le besoin de fumer se fera sentir. Ainsi le fumeur, confronté à une situation où il risquerait de se remettre à fumer, sera-t-il dès lors mieux armé pour l’affronter.

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Périnatalité

Bien que mettre un enfant au monde soit peut-être l’acte le plus ancien et naturel qui soit, l’accouchement ou la grossesse demeurent des moments emplis de crainte, voire d’angoisse, de croyances et/ou de légendes qui plongent les futurs parents et surtout la mère dans un état émotionnel sans aucune comparaison.

Nous savons aujourd’hui que cet état émotionnel n’est pas uniquement dû à l’élaboration psychique de la maternité, mais qu’il est également dû aux bouleversements hormonaux et physiques vécus par la femme enceinte. En effet, la grossesse, l’accouchement puis le post-partum transforment en quelques mois les représentations que les femmes ont du rôle de mère ou de femme, et imposent à leur corps des modifications extrêmes dont elles sont témoins au quotidien.

La sophrologie peut être proposée aux femmes enceintes dans le cadre de la préparation à la naissance sans douleur (ASD), en tant que technique complémentaire à la prise en charge médicale lorsqu’elle est souhaitée (Péridurale).

Elle est une technique efficace pour permettre aux femmes de franchir les différentes étapes de construction de son projet de maternité, qu’elle soit « naturelle » ou médicalement assistée.

Cette méthode les aide à construire leur nouvelle identité de mère, leur permet d’acquérir leur propre regard sur cette nouvelle responsabilité, favorise l’acceptation de leur nouveau corps ou leur forge de nouvelles valeurs comme la parentalité, la famille…

Durant les séances de sophrologie, les futures mamans pourront :

– exprimer leurs angoisses, inquiétudes ou peurs ;
– être à l’écoute de leur corps changeant ;
– mettre en pratique des exercices afin de mieux connaitre leur corps ;
– acquérir des techniques de détente et respiration afin de faciliter la  naissance ;
– développer la confiance en soi.

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